« (Selon Jean-Gabriel Coignet), à l’inverse de cette illusion d’une fusion totale, c’est que toute sculpture balise l’espace de même que tout espace vient baliser la sculpture en un échange certes total mais laissant néanmoins à chaque composante sa part propre (il n’y a pas de fin possible à la sculpture tant qu’il y a de l’espace). Les corps ne se fondent pas mais cohabitent. Rien ne se dissout, tout s’affronte. »
Paul Ardenne, Jean-Gabriel Coignet constructions et solides irréguliers , La Chaufferie, Stasbourg, FRAC Alsace, Sélestat, La Criée, Rennes, 1997, p.15.